Monastère Notre-Dame du Kokoubou (Bénin)

Les frères cisterciens du monastère Notre-Dame du Kokoubou vous accueillent avec joie ! Travail manuel et prières en communauté rythment les journées, dans ce monastère béninois où il fait bon vivre et où le dépaysement est assuré !

Faites un temps de retraite spirituelle au Kokoubou, une expérience hors du commun auprès des frères, contemplant un paysage verdoyant à la lisière de la forêt de l'Ouémé !

Les retraites organisées par la communauté

Pas d'events dans cette abbaye

L'Monastère et la communauté

Le Monastère et la communauté

Le Monastère et la communauté

La Monastère et la communauté

Le Monastère et la communauté

Le Monastère et la communauté

Le Monastère et la communauté

Le Monastère et la communauté

Notre-Dame du Kokoubou : un monastère trappiste au Bénin

Le Monastère Notre-Dame du Kokoubou est né dans le sillage du Concile Vatican II et de son appel à implanter la vie monastique dans les jeunes Églises.

C'est par la voix du Cardinal Bernardin Gantin, alors archevêque de Cotonou, que cet appel s'est concrétisé à la fin des années 1950, lorsque celui-ci sollicita l'abbaye cistercienne Notre-Dame de Bellefontaine, à venir fonder une communauté au Dahomey d'alors (aujourd’hui le Bénin).

Bellefontaine n'étant pas prête à ce moment-là pour une fondation, c'est l'abbaye voisine de Notre-Dame des Gardes qui envoya, en 1960, le nombre de sœurs nécessaire pour la fondation du monastère Étoile Notre-Dame, dans le diocèse de Parakou.

Douze ans plus tard, Bellefontaine fut en mesure d'envoyer suffisamment de frères fondateurs, qui purent commencer à mener la vie monastique au Kokoubou, à partir du 13 octobre 1972.

La communauté a été progressivement renforcée au rythme des arrivées et de quelques départs. Chemin faisant, des jeunes natifs du pays ont commencé à s'intéresser à la vie monastique jusqu'à ce jour où il ne reste plus que deux fondateurs dans la communauté, dont la présence est fort appréciée par les frères.

Le monastère vu du ciel aujourd'hui, les bâtiments et le jardin se sont déployés au fur et à mesure des années.

Une communauté de l'Ordre Cistercien

La communauté appartient à l'Ordre Cistercien de la Stricte Observance (OCSO pour les intimes), un ordre contemplatif né au 12ème siècle. Leur occupation principale est la prière, vécue 7 fois par jour en communauté. Les frères et les sœurs travaillent de leurs mains pour une durée de 4 à 6 heures par jour, afin de pourvoir à leurs besoins et faire le bien autour d’eux

Les frères demeurent ouverts au monde par le ministère de l'accueil de tous ceux, hommes ou femmes, qui désirent venir au monastère pour chercher Dieu dans la solitude pendant quelques jours, se reposer ou profiter du cadre paisible des lieux pour mener à bien leurs travaux académiques ou autres.

La communauté du monastère au grand complet !

Ce qui vous attend pendant votre retraite spirituelle

Vivre un temps de retraite spirituelle au monastère du Kokoubou

Toute personne est la bienvenue pour vivre un séjour au sein du monastère. Les hôtes sont conviés à se joindre librement à la vie de communauté et à participer aux différentes activités quotidiennes (temps de prière, repas, etc.).

La communauté propose un accueil pour des retraites solitaires ou accompagnées, selon les choix du retraitant. Un accompagnement individuel est possible. L'aide des hôtes qui le désirent est la bienvenue pour aider au travail manuel sur place !

Le sens de l'accueil des moines du Kokoubou

L’hôtellerie est composée de 4 bâtiments couverts abritant les chambres et les salles d’eau. Sont proposées principalement des chambres individuelles, ainsi que trois chambres à deux ou trois lits. Une salle de conférence pour une dizaine de personnes est à la disposition des groupes qui en auraient besoin !

Les repas, qui se déroulent en silence, sont préparés et servis par la communauté des moines.

Les bâtiments de l'hôtellerie donnant directement sur le jardin

Géographie et activités

Au Bénin, des merveilles entourent le monastère du Kokoubou

Le monastère se situe en pleine campagne et est entouré de villages peuls ou bariba.

Pour celles et ceux qui veulent s'aventurer hors du monastère lors de leur séjour, la ville de Parakou (deuxième plus grande ville du pays, sur la voie de Djougou, à l'Ouest), ainsi que le fleuve Ouémé et la montagne Ouari Maro (à une quarantaine de km) sont accessibles en voiture.

Le chemin pour rejoindre le monastère, c'est pas compliqué : c'est tout droit au milieu de la forêt béninoise !
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